Si vous travaillez avec de la chapelure classique, vous savez qu’elle fait très bien le job : simple, efficace,

Aujourd’hui, on vous parle du panko, parce qu’il mérite qu’on s’y attarde. Ce n’est pas juste un effet de mode ou un produit réservé aux chefs asiatiques. Le panko s’est tout simplement imposé dans toutes les cuisines.

Pan (pain) et ko (miettes) en japonais.

Le panko, c’est une chapelure japonaise, mais pas n’importe laquelle. À la différence de la chapelure

→ Un croustillant incomparable

C’est la promesse phare du panko. Grâce à sa structure plus légère et aérée, il absorbe beaucoup moins d’huile à la cuisson. Résultat : des plats panés plus légers, plus digestes… et surtout beaucoup plus croquants. Idéal pour ceux qui cherchent à se démarquer avec un effet de texture dès la première bouchée.

→ Une polyvalence bluffante

On pense souvent au panko pour des recettes japonaises comme les tempuras ou les tonkatsu. Mais en réalité, il s’adapte à tous les plats : escalopes et poissons panés, croquettes en tout genre, légumes rôtis, gratins, topping croustillant sur des mac & cheese… Une fois que vous l’avez testé, vous allez en mettre partout.

→ Une cuisson homogène

Le panko dore facilement, sans pour autant brûler. Il donne un rendu visuel plus “net”, avec un croustillant qui dure dans le temps. Cela donne des résultats particulièrement appréciés, en frais ou en surgelé, avec des durées de conservation étonnantes.

→ Un rendu visuel plus “pro”

Ce n’est pas juste une question de goût. Le panko donne aussi une belle finition à vos plats : plus de relief, un aspect doré net, et un côté “resto” qui change tout. Et ça, pour les chefs comme pour les amateurs, c’est toujours satisfaisant.